Vanessa Barnett est une avocate qui aide ses clients à utiliser la technologie et les données pour innover ou perturber les façons de faire établies, avec une expertise particulière dans les modèles d'affaires basés sur l'Internet et les plateformes. Elle aime travailler avec des personnes qui changent le statu quo. Depuis plus de 15 ans, elle aide ses clients, qu'il s'agisse de marques mondiales de renom ou de jeunes entreprises dynamiques, à atteindre cet objectif, d'abord en tant qu'associée de deux cabinets traditionnels de la City et maintenant au sein du cabinet d'avocats Keystone Law, spécialisé dans les bouleversements. En tant qu'avocate, elle conseille régulièrement des conseils d'administration sur des questions juridiques et des stratégies. Vanessa s'intéresse particulièrement au croisement entre la technologie, la propriété intellectuelle et les données, et passe actuellement la majeure partie de son temps de travail à conseiller des projets liés aux données. Diplômée en droit de l'université d'Exeter, elle est l'auteur fondateur de la section Internet de Practical Commercial Precedents et fait partie de son comité de rédaction. Elle fait également partie du comité éditorial de Digital Business Lawyer.

Helen Turvey a passé les deux dernières décennies à travailler à l'amélioration de la philanthropie. Elle est honorée d'avoir passé plus de la moitié de cette période à travailler avec la [Shuttleworth Foundation] (http://www.shuttleworthfoundation.org/), une organisation suffisamment courageuse et agile pour être véritablement expérimentale dans son approche du changement du monde et de son propre ADN. Après avoir passé du temps, au début de sa carrière, à voyager, à apprendre et à donner des conférences sur la plupart des continents, Helen consacre aujourd'hui son temps à travailler avec les boursiers et les anciens élèves de la Fondation, à construire, soutenir, renforcer et habiliter les leaders qui itèrent vers un monde plus ouvert et plus équitable. Elle siège également au conseil d'administration de plusieurs organisations qui défendent des idéaux ouverts.

Irina est directrice des normes et de l'interopérabilité chez NHSX et est passionnée par les produits et l'utilisation de la technologie pour améliorer les choses. Elle a passé de nombreuses années à travailler sur les données ouvertes chez Open Knowledge (en tant que directrice et responsable du produit CKAN), dans des start-ups du web et, plus récemment, en tant que chef de produit ou consultante en données pour le W3C, l'Open Data Institute et les gouvernements du Royaume-Uni, de Dubaï et des Émirats Arabes Unis. Elle a cofondé redecentralize.org - un projet visant à promouvoir et à rassembler les personnes qui travaillent sur les technologies numériques décentralisées et qui s'y intéressent.

Jarmo Eskelinen est un expert en matière de villes intelligentes et de données, basé à l'université d'Édimbourg en tant que directeur exécutif du programme Data Driven Innovation (DDI). Le programme DDI, d'une durée de 15 ans et doté d'un budget de 660 millions de livres sterling, est une initiative d'investissement et d'innovation qui couvre dix domaines industriels, des industries créatives aux soins de santé en passant par la robotique.

Auparavant, Jarmo a été CITO de la Future Cities Catapult, fondateur et directeur général du laboratoire d'innovation Forum Virium de la ville d'Helsinki et directeur exécutif du centre des médias de l'université d'Aalto.

Jarmo est membre du Smart London Board, fondateur du réseau Open & Agile Smart Cities et ancien président du Réseau européen des laboratoires vivants ENoLL. Il achète trop de disques vinyles et aime faire du vélo dans les villes.

Tim Hubbard est professeur de bioinformatique et chef du département de génétique médicale et moléculaire au King's College London. Il est également responsable de l'analyse du génome à Genomics England, une société créée par le gouvernement britannique pour mettre en œuvre le projet 100 000 génomes, qui vise à généraliser l'utilisation de l'analyse de la séquence du génome entier pour le traitement dans le National Health Service (NHS) du Royaume-Uni. De 1997 à 2013, il a travaillé au Wellcome Trust Sanger Institute, où il a été l'un des organisateurs du séquençage du génome humain. En 1999, il a cofondé le projet Ensembl visant à analyser, organiser et fournir un accès au génome humain et, depuis 2007, il dirige le projet GENCODE visant à annoter la structure de tous les gènes humains. Il est partisan des avantages du libre accès et de la libération des données pour la science et la société dans son ensemble et a siégé dans de nombreux conseils consultatifs nationaux sur l'accès à l'information, notamment Europe PMC (PubMedCentral), le référentiel pour les publications en libre accès. Il est titulaire d'une licence de l'université de Cambridge (Royaume-Uni) et d'un doctorat du Birkbeck College de l'université de Londres (Royaume-Uni).

Johnny West est directeur de OpenOil, un cabinet de conseil basé à Berlin qui utilise des données et des méthodologies ouvertes pour réaliser des analyses financières et commerciales de qualité pour les gouvernements et les sociétés concernant leurs actifs en matière de ressources naturelles. Il siège au conseil consultatif de FAST, la seule norme de modélisation financière à source ouverte, et est un ancien élève de la Shuttleworth Foundation Fellowship. Johnny a commencé sa vie professionnelle comme journaliste pour Reuters au Moyen-Orient (et a récemment écrit un livre sur le printemps arabe), puis s'est lancé dans le journalisme en ligne au milieu des années 1990, et dans le développement des médias à travers le monde, en dirigeant Internews Europe, une ONG internationale, où il a commandé une extension substantielle du logiciel d'anonymat ToR dans les pays répressifs. Le travail d'OpenOil est guidé par la conviction que toute réponse efficace au changement climatique et aux autres frontières planétaires nécessite une base de données ouverte et complète sur les ressources naturelles, ainsi que l'analyse qui en découle afin d'alimenter l'élaboration des politiques publiques. Johnny parle le français, l'arabe, l'allemand, l'espagnol et le persan et est passionné par le potentiel des systèmes de connaissance ouverts dans l'espace non anglophone.